Divorcer n'entraîne pas la fermeture automatique des comptes des ex-époux, qu’ils soient communs ou non. Il fait seulement état de la répartition des actifs entre les ex-conjoints. De plus, se pose la question de l'utilisation de ces comptes pendant la procédure de divorce qui, selon les situations, peut justifier la mise en place de certaines précautions. Cela peut impliquer de révoquer une éventuelle procuration bancaire donnée, de clôturer certains comptes ouverts en commun (compte joint) et/ou d’en répartir les avoirs dans le respect du jugement de divorce. À ces fins, comment bien gérer ses comptes bancaires pendant et après un divorce ?
Chacun doit-il absolument détenir son propre compte bancaire individuel pour gérer les dépenses ? Certaines personnes préfèrent conserver leur pleine indépendance financière et se refusent alors à gérer leur argent via un compte commun. Pourtant, beaucoup de français n’ont aucun problème à favoriser une gestion de compte collective. Notamment dans le cas des couples et partenaires, où la question peut rapidement se poser. D’ailleurs, deux couples français sur troismettent en commun la totalité de leurs revenus. Mais nous allons voir que loin des idées reçues, l’ouverture d’un compte joint peut aussi correspondre à d’autres situations de vie en communauté. Qu’est-ce qu’un compte joint, comment l’ouvrir, à quoi sert-il ? Faisons un tour d’horizon des questions que vous pouvez vous poser !
La réserve héréditaire, considérée comme l’un des piliers de la transmission en France, est un concept à connaître et un élément à prendre en compte pour pouvoir transmettre son patrimoine sans encombre et en toute légalité.
On dit souvent que le mariage est l’un des plus beaux jours d’une vie. Mais cette journée, si émouvante et magique soit-elle, a un coût qu’il ne faut pas négliger. Heureusement, plusieurs options existent pour vous permettre de financer votre mariage, quelles que soient vos envies.
En matière de succession, la donation-partage rencontre un certain succès. Ce dispositif permet d’organiser votre succession de votre vivant par le partage de vos biens à vos héritiers présomptifs tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.