
FAUX ! Si elle présente des avantages en cas de décès, l'assurance-vie permet avant tout de préparer un ou plusieurs projets pour en profiter de son vivant.
FAUX ! Si l'assurance-vie est bien un placement à long terme, il est possible pour l’assuré de disposer de son capital dès qu'il le souhaite. En revanche, la date à laquelle interviennent les rachats partiels ou le rachat total du contrat (c’est-à-dire le retrait d’une partie ou de la totalité de la valeur du contrat), a une incidence sur la fiscalité appliquée aux intérêts et plus-values perçus.
FAUX ! Dans le cas d'un rachat partiel (c’est-à-dire le retrait d’une partie de la valeur du contrat) effectué avant la huitième année du contrat, seulement une partie des intérêts est soumise au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) ou au barème progressif de l'impôt sur le revenu.
FAUX ! Il n'existe pas d'âge minimum pour être titulaire d’un contrat d'assurance-vie. Au contraire, il est important pour les parents de "prendre date" et d'ouvrir un contrat à son enfant le plus tôt possible.
FAUX ! Légalement, il n'existe pas de limite d'âge pour souscrire un contrat d'assurance-vie. Pour autant, certaines règles diffèrent pour les plus de 70 ans, et imposent donc certaines précautions.
FAUX ! L'assurance-vie permet à chacun de se constituer son capital à son rythme et suivant ses moyens, et ainsi d’en disposer le moment venu.
FAUX ! L'assurance-vie rapporte plus que d'autres produits d'épargne, notamment que les traditionnels livrets. Et au-delà, son intérêt ne réside pas uniquement dans la hauteur de ses rendements.
FAUX ! Contrairement aux idées reçues, l'assurance-vie n'est pas intéressante qu'à long terme ! Sa fiscalité et ses rendements demeurent avantageux même avant le huitième anniversaire du contrat.
FAUX ! L'assurance-vie propose plusieurs formules qui permettent de moduler le risque en fonction des objectifs, des priorités et de la sensibilité de chaque assuré.
FAUX ! Cette limite correspond simplement au seuil jusqu'auquel les bénéficiaires peuvent être exonérés des droits de succession sur la transmission du capital, en cas de décès de l’assuré. Néanmoins, ce seuil évolue en fonction du nombre de bénéficiaires et de l’âge de l’assuré.
FAUX ! En fonction de l’assureur, les conditions, les frais ou la performance peuvent varier.
FAUX ! La loi autorise la souscription de plusieurs contrats d'assurance-vie au nom d'un même assuré.
FAUX ! Le législateur oblige contractuellement l'assureur à indiquer clairement, et de manière tout à fait transparente, tous les frais afférents à la souscription et la gestion d'un contrat d'assurance-vie.
FAUX ! Depuis quelques années, si la loi exonère les droits de succession, il peut toujours être intéressant d'indiquer son conjoint comme bénéficiaire d'un contrat d'assurance-vie.
FAUX ! Le souscripteur peut à tout moment et sans limitation du nombre de fois, modifier le(s) bénéficiaire(s) de son contrat, sauf acceptation du bénéficiaire et de l’assuré.